PRÉSENTATION

J’ai développé un système d’élevage en milieu urbain en profitant de l’engouement pour l’éco-pâturage. Aujourd’hui, je rentre dans la couveuse d’activités Les Champs des Possibles pour développer une activité économique tournée vers le pâturage et la production agricole, en partenariat avec les maraîchers, les céréaliers, et les arboriculteurs. Mon objectif est de retrouver des façons de faire qui fassent revenir les insectes, qui limitent les attaques de ravageurs sur les cultures (limaces, altises), qui favorisent la biodiversité et la vie du sol, qui rapportent de la fertilité des prairies ou des broussailles vers les cultures

Activités, produits, services

Mon troupeau est composé de 80 brebis métissées, sur une base de races Thônes-et-Marthod et Limousines, croisées avec des béliers Solognots, Charmois, et Ouessant.

Mes animaux sont élevés en plein air intégral, mangent essentiellement de l’herbe, des feuillages, des glands, des graines d’acacia, des marrons, des châtaignes, des restes maraîchers (courge musquée, butternut). Ils ne consomment donc ni foin ni céréales, ce qui améliore la qualité des graisses dans l’animal, et la santé de l’animal. Ainsi, il n’y a aucun traitement vétérinaire sur les agneaux.

Les zones de pâtures sont très variées : de l’arboretum de Versailles, au parc du Château de Saint Jean de Beauregard, aux fermes des maraîchers de Saulx Les Chartreux et Magny Les Hameaux, aux couverts végétaux des fermes céréalières du plateau de Saclay et du PNR de la Vallée de Chevreuse.

La vente d’agneaux permet de diminuer le nombre de mâles dans le troupeau, et une rentrée économique pour être plus indépendant des prestations de service. Les agneaux sont abattus entre 6 et 12 mois.

Je commence à commercialiser en AMAP, notamment avec l’AMAP de la Blette Humaine à Anthony.

On en parle :

https://www.media-paris-saclay.fr/23737/

ECRIRE A OLIVIER

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